D’autres armes contre covid19…l’instestin et …

Pourquoi d’autres armes ? Vraisemblablement nous mettrons un certain temps avant de trouver LE médicament (miracle) contre le #covid-19. (De même que pour le vaccin. (Après 35 ans, on cherche toujours un vaccin pour le VIH). Il est nécessaire de faire des recherches multidisciplinaires,

des armes : L'intestin ?
des armes : L’intestin ?

Quelles armes (à l’essai) ?

Il est nécessaire de faire des recherches multidisciplinaires. Afin de construire pierre après pierre, touche par touche pour avancer vers une réelle solution contre cette épidémie.

En attendant ces armes, la lutte contre de virus doit être multiple :

  • Une étude faite chez des fumeurs dans un CHU parisien (Pitié Salpétrière) sur l’action préventive et curative de la nicotine en patch. Cette étude n’est en rien un encouragement au tabagisme ;
  • Le Covid-19 provoquerait une infection mixte – à la fois virale et bactérienne. D’où l’intérêt d’utiliser l’azithromycine, qui est active contre les bactéries Prevotella. Ainsi que sur les microbes intracellulaires qui hébergent le covid-19 ;

Azithromycine : une expérimentation empirique :

3 médecins généralistes de Moselle et Belges (aucun média national ne parlent d’eux !) ils ont mené une « étude » dans leur cabinet « face à des malades symptomatiques » de l’azithromycine sans chloroquine, mais avec un autre produit dont je ne donnerai pas le nom pour ne pas provoquer de l’automédication et du Zinc (pour renforcer l’activité de l’azithromycine). Sur une centaine de malades manifestants avec des « signes grippaux ». Résultat aucune hospitalisation (donc aucun décès). Mieux que les résultats de Marseille !

  • Dans les intestins des malades covid+, on rencontre des microbes intracellulaires. Qui peuvent héberger, pour le faire diffuser le covid-19. L’Université de médecine de Zhejiang a mis en place, avec de bons résultats, une stratégie dite des « quatre anti et deux équilibres ». À savoir : antiviral, antichoc, anti-hypoxémie, anti-infectieux, et aussi le maintien de l’équilibre électrolytique et de l’équilibre microbiotique.

Il n’y a pas que les poumons : il y a aussi le sang :

  • Les patients présentant les formes les plus graves du Covid-19 et tous ceux qui en décédaient présentaient un taux anormalement haut de D-dimères.
  • Ces D-dimères sont des marqueurs que l’on trouve dans le plasma sanguin, qui permettent de prédire des maladies bien connues : la phlébite, la thrombose veineuse, l’embolie pulmonaire. Ces maladies provoquent des caillots sanguins qui se forment par un excès de coagulation du sang.

Ces nouvelles armes mettent en évidence :

Un traitement multidisciplinaire et individualisé comme arme, a été appliqué à chaque malade. Pour augmenter l’effet thérapeutique.

L’anxiété et la peur étaient très présentes chez les personnes atteintes du Covid-19 ;

Un soutien micro nutritionnel de l’intestin a été proposé, avec administration de probiotiques et de prébiotiques. Pour rétablir l’équilibre prévenir le risque d’infection secondaire ; 

L’antibiothérapie était, quant à elle, réservée aux personnes avec un long parcours de maladie et des fièvres répétées ;

La souche Lactobacillus plantarumen agissant sur le mucus intestinal, a permis d’empêcher l’infection des cellules épithéliales. Par les coronavirus dans une étude sur modèle animal. 

lactobacillus-plantarum
lactobacillus-plantarum

Des explications :

Dans des maladies inflammatoires chroniques. L’ingestion d’un complexe probiotique à haute concentration permet en outre de réduire les taux plasmatiques de cytokines pro-inflammatoires. et par là, d’augmenter ainsi les taux de cytokines régulatrices de l’inflammation. (contre l’orage de cytokine qui tue ! )

Les personnes obèses, plus touchées par le Covid-19, ont un microbiote qui est également plus riche en Prevotella. Si l’administration de probiotiques à cette population donne de bons résultats. En termes d’amélioration des marqueurs de l’obésité (masse graisseuse, glycémie, insuline, etc.). Ces résultats sont encore plus visibles pour les individus chez qui la bactérie était très présente, comme chez les malades covid+

Le comportement des populations microbiennes :

Qui colonisent le corps humain continue d’être scruté. Notamment afin d’identifier et de comprendre les différences entre les catégories de personnes à risque. Et celles qui demeurent en bonne santé. Si la recherche de traitement contre le Covid-19 bat son plein. Une meilleure connaissance des interactions entre hôte, bactéries et virus pourrait orienter les efforts de manière décisive.

(Informations Dimitri Jacques dans Alternative Santé)

À ces hypothèses autour de l’intestin ; il faut ajouter :

  • Une étude fait auprès de personnels soignants, d’une éventuelle activité préventive du vaccin BCG ;
  • Le pouvoir élevé de transporter plus d’oxygène dans le sang. Soit 40 fois plus importante que dans l’hémoglobine humaine. via l’hémoglobine d’un ver marin ;
Ver-marin-hémoglobine
Ver-marin-hémoglobine
  • Une coagulation anormale du sang jouerait un rôle déterminant. Dans la brusque dégradation des patients déjà en réanimation, conduisant à un décès rapide et brutal. (Pour cause de thrombose). D’où la nécessité de maintenir les niveaux de coagulation du sang à des niveaux normaux. Durant toute la durée de l’épidémie. Comme il n’est cependant pas question de se jeter sur des anticoagulants chimiques. L’idée d’un protocole préventif à base de produits naturels.
Thrombose-sanguine
Thrombose-sanguine

Voici les produits naturels anticoagulants que conseille le Dr Rueff selon *:

  •  Prendre des oméga-3 à fortes doses (entre 2 et 4 g d’huile de poisson des mers froides purifiée) ;
  • Recourir au macérat de bourgeons de cornouiller sanguin, un remède anti-thrombotique. Qui draine les artères et a une action anti-inflammatoire (en teinture mère 10 à 15 gouttes trois fois par jour) ;
  • Prendre, toutes les deux heures, un à trois granules d’un remède homéopathique anticoagulant. À base de venin de serpent comme Vipera Redi. (On le donne en prévention avant les voyages en avion).

*Tang, N., Li, D., Wang, X., & Sun, Z., « Abnormal Coagulation parameters are associated with poor prognosis in patients with novel coronavirus pneumonia », Journal of Thrombosis and Haemostasis, (2020) doi:10.1111/jth.14768, disponible ici : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/jth.14768

  • Pour finir parmi les hypothèses sérieuses, nous ne pouvons exclure l’état du terrain (le malade lui-même). En effet il semble nécessaire d’éviter les risques de comorbidité par une excellente hygiène de vie. Pas de tabac, pas d’excès alcooliques, éviter un surpoids et une hypertension et un diabète non stabilisés et aussi pratiquer de l’exercice physique régulier.

Conclusions sur toutes ces armes proposées :

Cela ferait preuve de bon sens d’admettre que pour encore quelques mois. Il nous faudra “bricoler” dans toutes les directions possibles pour éviter des morts. En ciblant les nombreuses actions du virus dans un corps humain. Les unes après les autres, avant d’être en mesure de vaincre le covid-19. Messieurs les chercheurs unissez-vous, travailler ensemble. Laissez de côté vos égos, pour quelque temps. Au lieu de perdre du temps pour démontrer que le Pr Raoult et quelques autres ont tord (exemple l’expérimentation de Discovery).

La Nation vous sera reconnaissance.

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