Une entreprise, c’est comme un arbre :

GRAND PRIX LITTÉRAIRE* : “ Le prince de la métaphore”

*Détails et formulaire, à la fin de l’article. Merci

Une entreprise, comme un arbre, se développe naturellement, lentement, selon des saisons – par cycles :

arbre-le-platane-de-Missillac
arbre, le platane de Missillac “le plus bel arbre de France” (2019)

un arbre – une entreprise

Tout d’abord il y a une rencontre :

  • Entre une graine d’arbre (un chêne, un séquoia, un olivier…) et un entrepreneur autour d’une idée créative, d’un désir de production, d’une expertise à partager, d’un marché (un fruitier, de décoration ou tout simplement pour faire de l’ombre) ;
  • Puis le choix du lieu de la plantation, le “plantage” et tous ses soins. Cela peut demander plus ou moins d’efforts, avec des résultats qui peuvent être aléatoires voire décevants.
arbre-glycine-au-Japon
arbre-glycine-au-Japon

Des prestataires, fournisseurs, consultants – les jardiniers ou paysagistes :

  • Toute ces équipes de jardiniers vont suivre attentivement et veiller au bon développement de l’arbre – l’entreprise ;

Des salariés – les feuilles de l’arbre :

  • Tous les deux – l’entreprise comprise – durant leur vie, vont développer, nourrir des feuilles – des salariés mais aussi en perdre pour que d’autres apparaissent toujours plus nombreuses, parfois même plus vertes ;
le-Cèdre-bleu-de-Châtenay.
le-Cèdre-bleu-de-Châtenay.

 Des managers – les branches :

arbre-dragonnier.
arbre-dragonnier.
  • Ils donnent du volume et permettent aux feuilles – le business – de bien s’étaler dans un certain bien-être. Parfois un orage brisera une branche, plus ou moins grosse, mais là aussi, pour se voire remplacer par une autre peut être plus vigoureuse.
  • L’arbre “General Sherman” n’est pas seulement le plus gros séquoïa géant du monde, il est aussi l’arbre le plus grand du monde. Il mesure 83,8 m de haut pour 24,10 m de circonférence (et même 31,4 m à la base), et la branche la plus basse est située à 40 m de haut !  En 2006, au cours d’un violent orage le « Général Sherman » a perdu une énorme branche, mais ce n’était que le cycle naturel de sa croissance ;
Général Sherman,le-plus-grand-arbre-du-monde
Général Sherman,le-plus-grand-arbre-du-monde

Des clients – les fruits, les fleurs :

  • Les fruits – les clients – surgissent aussi selon des cycles avec normalement des années plus ou moins productives, une mauvaise année peut inquiéter le producteur, mais il sait qu’une meilleure suivra et remettra sa trésorerie à flot ;
  • Les deux seront soumis à des aléas – du business – voire des accidents, (sécheresse, inondation voire même un incendie), mais là aussi la nature est bien faite et tout repartira plus fort ;
arbre-fruitier.
arbre-fruitier.

Des valeurs – les racines d’un arbre:

  • Tous les deux repartiront de plus belle à condition que leurs racines ne soient pas atteintes – les racines = les valeurs de l’entreprise – à savoir pour Facility : la qualité des process, un management responsable, une satisfaction des clients certifiée par ISO 9001, une stratégie « Customer Centric » et surtout l’adhésion de tous aux valeurs de l’entreprise ;
arbre-le-plus-vieux-du-monde
arbre-le-plus-vieux-du-monde

Le Dirigeant – le tronc de l’arbre :

tronc d'arbre
tronc d’arbre
  • Le tronc, c’est bien sûr le dirigeant, souvent il grossit avec l’âge ! Mais solide, bienveillant, il maintient le tout contre vents et marées. Il veille à l’environnement de l’arbre – les concurrents – afin de conserver son espace vitalses parts de marché – pour assurer le bon développement de l’arbre-entreprise .

  • Parfois pour mieux grossir, il sera nécessaire de replanter l’arbre dans un terreau plus riche sous des cieux plus propices – délocalisation ou internalisation de l’entreprise.
  • Dans la forêt de Yakushima (Japon) des conditions particulières ont permis à des cèdres de se développer depuis 5 000 ans (certains disent 2 000 ans seulement) !

arbres- Forêt-de-Yakushima-Japon-cèdres-ayant-5-000-ans.
arbres-de-Yakushima-Japon-cèdres-ayant-5-000-ans.

Vous aimez lire ou écrire des métaphores ?

Ce texte ci-dessus représente un exemple d’une métaphore qui constitue la base du Storytelling. (À l’exemple des Rois de la métaphore comme Antoine de Saint Exupéry, Cicéron, Aristote, Rimbaud, Lamartine, Lautréamont, Victor Hugo, Balzac, Giono, les poètes arabes ou chinois ou…Machiavel).

Grand Prix-Concours littéraire annuel devenez :

« le Prince de la métaphore…»

Nous sommes quelques auteurs blogueurs à constater que les gens ne lisent plus autant qu’avant (livres, magazines, journaux et même Newsletter ou blog pro sur la toile). Bien sûr, les temps ont changé, de nouveaux outils de communication sont apparus, l’image et la vidéo se sont largement élargies. L’école a mis de côté l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, Notre cerveau lui-même mute ses anciennes capacités au profit de nouvelles excluant l’étape des apprentissages fondamentaux…d’un autre temps.

Les rédacteurs vont désormais directement à l’essentiel, fini les grandes envolées littéraires de Proust ou de Mme de Sévigné. Les lecteurs eux même ne consacrent plus que « 1 minute 30 » de concentration sur le même sujet. Cela entraîne une disparition du plaisir de lire, on « parcoure » simplement pour s’informer. D’où le succès des abréviations, onomatopées, voire des émojis et autres raccourcis de langage. Bref, qu’est devenu le plaisir de lire pour lire ?

Dans le marketing

Certains résistent et font du « storytelling », mais (paraphrasant le Gal. de Gaulle sur l’Europe) : il ne suffit pas de sauter en l’air comme un cabri et de dire : Storytelling ! Storytelling, Storytelling…Ni même de raconter une simple histoire pour faire du Storytelling. Ce serait trop simple. Le Storytelling demande lui aussi d’appliquer des règles de construction bien précises pour susciter l’intérêt réel du lecteur.

Entre autres : l’usage de métaphores ! (Ce n’est pas le seul point à remettre au goût du jour), mais là, il y a beaucoup à faire pour devenir un Prince de la métaphore (la place de Roi étant déjà prise depuis le Moyen Âge avec Pétrarque, François Villon, Jean Marot…).

Retrouvons l’attention de nos « amis », refaisons entrer nos lecteurs au sein de nos rêves. Remettons des métaphores dans nos contenus ! Bref redonnons leur le plaisir de nous lire.

D’où l’idée de créer un prix (littéraire) annuel, auprès des rédacteurs en ligne, mais aussi des lecteurs : « Le prince de la métaphore »

Le grand Prix-Concours : « le Prince de la métaphore » :

2 catégories : Lecteurs et Auteurs

  • 1°) catégorie « Lecteurs » : Envoyez-nous la plus belle métaphore que vous ayez lue, quel que soit le domaine, en nous signalant simplement le nom de l’auteur.
  • 2°) Catégorie « Auteurs » : Amis storyteller, Denis Gentile et consorts, à vous maintenant de nous écrire d’autres histoires (édifiantes) pour dépeindre votre entreprise, vos réalisations, vos projets professionnels, votre carrière perso…

Elles seront publiées (si vous le souhaitez) dans le blog du Think Tank : Commerçants du monde.

Si les métaphores déferlent en nombre, on créera un « grand prix littéraire » chaque année, de la meilleure métaphore pro…de l’année.

Inscrivez-vous au concours.

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